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J’ai été un couteau suisse

La naissance de NeoWorker

Je ne suis pas à l’aise avec l’idée de parler de moi, mais bien obligée pour expliquer pourquoi j’ai créé NeoWorker.

J’ai été moi-même freelance / couteau suisse/ pompier / bras droit (et parfois gauche aussi) du dirigeant. J’avais beau être à fond, j’ai fini moi-même par avoir trop de clients…

Alors, je me suis dit pourquoi ne pas trouver d’autres profils comme le mien !

J’ai donc lancé NeoWorker en 2018 avec une poignée de clients et de free.

Aujourd’hui, nous sommes plus d’une centaine, 54 % des entreprises du sud ont déjà fait appel à un freelance et 62, 5 % envisagent de le faire pour faire face aux mutations de la société actuelle (selon notre étude réalisée en mai 2020).

Le plus compliqué encore aujourd’hui est de changer l’image du freelancing trop souvent associée aux plateformes et au télétravail.

Je n’ai rien contre les plateformes, ce n’est juste pas ma façon de travailler. J’aime faire de la dentelle de brief, du bichonnage de client et du match parfait de free

Nous sommes et resterons une agence locale proche de toutes ses freelances et clients.

Pour nous, le freelancing est une nouvelle façon de travailler choisie et assumée, non pas un mode de consommation.

Quelle team êtes-vous : vrai café ou algorithme ?